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Quels sont les écarts de pension à la retraite entre les infirmiers et infirmières de la FPH ?

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Quels sont les écarts de pension à la retraite entre les infirmiers et infirmières de la FPH ?

Dans la Fonction publique hospitalière, comme dans d’autres secteurs, il n’est pas rare de constater des inégalités au regard des pensions de retraite. Le plus souvent, ce sont les infirmières ou les infirmiers qui ont choisi d’interrompre leur carrière ou de travailler à temps partiel qui sont pénalisés. Les écarts de salaire entre hommes et femmes, même s’ils se réduisent, sont aussi des facteurs déterminants au moment du calcul de la retraite… Alors autant s’y préparer le plus tôt possible.

Pourquoi existe-t-il des écarts de pensions de retraite entre infirmiers et infirmières ?

Carrières courtes, temps partiel : des facteurs moins favorables aux femmes au regard de la retraite

Les évolutions de carrières et le temps de travail font partie des critères qui influent sur le montant d’une pension de retraite dans la Fonction publique hospitalière. Choisir de se consacrer à sa vie de famille, par exemple : de nos jours, ce sont le plus souvent les femmes qui s’arrêtent de travailler pour s’occuper des enfants. Malgré des changements dans nos modes de vie, et même si les hommes peuvent aussi prendre un congé parental, ils sont moins nombreux à faire ce choix. Selon des chiffres parus en 2021 (source), seuls 0,8 % des pères prennent un congé parental à temps plein.
S’arrêter de travailler plus ou moins longtemps ou passer à temps partiel impacte logiquement la trajectoire professionnelle d’un infirmier ou d’une infirmière : moins de formations, progression plus lente vers des postes supérieurs.
Cela joue aussi sur le niveau de salaire et sur le montant de la future pension de retraite à plusieurs niveaux, selon les situations :

  • les congés maternité et les congés parentaux peuvent empêcher de gravir les échelons aussi vite qu’un infirmier ou une infirmière qui continue à travailler ;
  • la réduction du temps de travail rime avec baisse de la rémunération ;
  • le temps partiel « sur autorisation » affecte le nombre de trimestres retenus dans le calcul de la pension (contrairement au temps partiel « de droit » toujours accordé en cas de demande, après une naissance ou une adoption jusqu’au 3e anniversaire de l’enfant).

Les inégalités salariales hommes/femmes persistent mais sont moins importantes

Pour les infirmières, il existe aussi des inégalités salariales, comme pour les autres femmes qui travaillent dans la Fonction publique hospitalière. Bien que les écarts de rémunération entre hommes et femmes aient tendance à diminuer, ils existent toujours : à profil identique (métier, établissement, âge, grade), les femmes gagnent en moyenne 3,4 % de moins que les hommes, contre 3,6 % en 2019, selon les chiffres de l’Insee parus en 2022.
Tous métiers confondus, la différence de salaire est portée à 19,1 % mais elle a diminué de 1,5 point en un an. Elle est liée à la répartition du personnel en fonction des professions. Par exemple, les femmes sont plus nombreuses dans les corps de métiers des infirmiers mais aussi des aides-soignants, dont les salaires sont moins élevés.

Or, le traitement indiciaire des six derniers mois est l’un des facteurs de calcul de la pension de retraite. Ces inégalités se répercutent donc directement sur les pensions de retraite des infirmières. En sachant que, pour les agents de la Fonction publique hospitalière, les revenus baissent de 25 à 30 % en moyenne au moment de la retraite.

Rappel : un ou une IDE en soins généraux gagne un salaire brut compris entre 1 891,51 euros et 3 264,07 euros, selon la grille indiciaire du grade 1.

Quelles solutions pour anticiper et préparer sa retraite ?

Commencer à préparer sa retraite le plus tôt possible

La retraite n’est pas le premier projet auquel pense une infirmière ou un infirmier en début de carrière, et pourtant. Anticiper reste la meilleure solution pour compenser la baisse de revenus qui intervient à la retraite.
Commencer à se constituer un complément de ressources le plus tôt possible permet de lisser son effort d’épargne pendant la vie active, et de profiter d’une somme plus importante le moment venu.
Il faut aussi garder à l’esprit que la retraite est une question personnelle, que chacun et chacune doit l’aborder selon sa situation. Certains événements de la vie, une séparation par exemple, peuvent se révéler pénalisants en divisant par deux le budget d’un foyer.

La Complémentaire Retraite des Hospitaliers (CRH) : une formule pensée par et pour les agents hospitaliers

La CRH est un Plan Épargne Retraite Individuel qui permet aux agents de se constituer un complément de revenus à leur rythme et en toute liberté.
Avec la Complémentaire Retraite des Hospitaliers, profitez de nombreux avantages :

  • vous cotisez selon votre budget ;
  • vous disposez de plusieurs options pour récupérer votre épargne ;
  • vous pouvez faire des économies d’impôts tous les ans.

Un coup de pouce financier est aussi offert aux agents hospitaliers qui décident de s’affilier avant l’âge de 40 ans : un mois de cotisation offert tous les ans pendant 10 ans maximum.


Vous avez des questions ou vous souhaitez vous affilier ? Vous trouverez plus d’infos sur le site de la CRH.

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Ce dossier est proposé par la Complémentaire Retraite des Hospitaliers,
1er Complément de Retraite de la Fonction publique Hospitalière.

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